A l’heure où de plus en plus de clubs professionnels passent sous pavillon étranger, rachetés ou boostés par des investissements américains (OM), chinois (Auxerre, Sochaux, Nancy, Nice, Lyon) ou qataris (PSG), beaucoup craignent que nos clubs perdent leur identité, celle qui les relie aussi à leur environnement le plus proche, les supporters et les clubs amateurs en tête.

Cette perspective est bien réelle mais jouer le jeu de cette mondialisation, en accepter les risques, peut aussi s’avérer être profitable pour tout le monde parce qu’il n’y a pas beaucoup d’autres moyens aujourd’hui en France de lutter contre une concurrence de plus en plus forte des grands pays du football européen. Parce que pour être compétitif, il faut savoir s’ouvrir aux autres, à ce qui se fait ailleurs. Selon moi, il ne faut pas voir cette arrivée massive d’investisseurs étrangers par le petit bout de la lorgnette mais plutôt considérer que c’est une chance qui, à terme, rejaillira forcément sur l’ensemble de notre football, amateurs compris.
Mais pour ça, il faut être vigilant. Et remercier Michel Platini qui, avec l’instauration du fair-play financier...
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