"Lamentable", "honteux", "désolant"... les qualificatifs employés par toutes les personnes découvrant l'état du complexe Armand Habas de Bazet après quinze jours d'occupation par les gens du voyage sont sans équivoque.

Partis ce dimanche matin, ils ont laissé derrière eux un stade dans un triste état. Si les fabrications en dur (club house, tribune et vestiaires) n'ont pas été touchées, ce sont les pelouses des terrains honneur et annexe qui ont le plus souffert. Désormais elles n'en ont plus que l’appellation puisqu'elles sont traversées par de véritables chemins tracés certainement par des engins motorisés. A certains endroits, la pelouse a été brulée. La main courante a été cassée à plusieurs endroits et doit être entièrement refaite sur de longs mètres.
Les dirigeants de l'Elan Pyrénéen ne peuvent que constater les dégâts. Désormais c'est aux pouvoirs publics, puisque le terrain est municipal, et aux instances du football de trouver une solution pour que le football revienne au plus vite à Bazet. Heureusement, le club possède un terrain à Borderes sur Echez et un autre à Lagarde (sans éclairage). Les séniors avaient déjà prévu de délocaliser leur préparation estivale à Lagarde. Mais au vu de l'ampleur du désastre, les dirigeants sont septiques quant à voir du football à Bazet lors de la saison 2016/2017. Il faudra bien trouver des solutions pour faire évoluer la vingtaine d'équipes du club, dont trois évoluent en ligue, et les 300 licenciés. Pour l'instant, l'heure est au questionnement sur le financement de la réfaction des installations. Finalement, il n'y aura pas de trêve estivale pour les valeureux dirigeants du club qui ont vu en quinze jours le fruit de leurs investissements anéantis.
Les dirigeants de l'Elan Pyrénéen ne peuvent que constater les dégâts. Désormais c'est aux pouvoirs publics, puisque le terrain est municipal, et aux instances du football de trouver une solution pour que le football revienne au plus vite à Bazet. Heureusement, le club possède un terrain à Borderes sur Echez et un autre à Lagarde (sans éclairage). Les séniors avaient déjà prévu de délocaliser leur préparation estivale à Lagarde. Mais au vu de l'ampleur du désastre, les dirigeants sont septiques quant à voir du football à Bazet lors de la saison 2016/2017. Il faudra bien trouver des solutions pour faire évoluer la vingtaine d'équipes du club, dont trois évoluent en ligue, et les 300 licenciés. Pour l'instant, l'heure est au questionnement sur le financement de la réfaction des installations. Finalement, il n'y aura pas de trêve estivale pour les valeureux dirigeants du club qui ont vu en quinze jours le fruit de leurs investissements anéantis.
