Avant la vingt-septième journée de Ligue 1, retour non exhaustif sur les Bigourdans qui ont évolué en première division française et que Sébastien Salles-Lamonge vient de rejoindre au panthéon. (par puk)

JEAN PAUL ESCALE
Né le 6 mars 1938 à Barbazan Debat
Poste : gardien de but
Parcours
Joueur : Olympique de Marseille (1960-1971), AC Ajaccio (1971-1972), Stade Rennais (1972-1974), US Valenciennes (1974-1976)
Bilan
237 matchs de ligue 1
4 matchs de coupe des coupes
4 matchs de coupe de l'UEFA
Palmarès
Champion de France (1971), vainqueur de la coupe de France (1969), champion D2A (1975)
Originaire des Hautes-Pyrénées, Jean-Paul Escale arrive à Marseille à l’âge de 7 ans. Il est le gardien titulaire de l’OM pendant huit années consécutives, de 1963 à 1971. Il est considéré comme l’un des meilleurs gardiens français à cette époque, mais n'est pas international car la concurrence est rude avec Georges Carnus ou Marcel Aubour. Il remplace ce dernier à Rennes, en 1972, après un passage à Ajaccio, avant de finir sa carrière professionnelle à Valenciennes.
Né le 6 mars 1938 à Barbazan Debat
Poste : gardien de but
Parcours
Joueur : Olympique de Marseille (1960-1971), AC Ajaccio (1971-1972), Stade Rennais (1972-1974), US Valenciennes (1974-1976)
Bilan
237 matchs de ligue 1
4 matchs de coupe des coupes
4 matchs de coupe de l'UEFA
Palmarès
Champion de France (1971), vainqueur de la coupe de France (1969), champion D2A (1975)
Originaire des Hautes-Pyrénées, Jean-Paul Escale arrive à Marseille à l’âge de 7 ans. Il est le gardien titulaire de l’OM pendant huit années consécutives, de 1963 à 1971. Il est considéré comme l’un des meilleurs gardiens français à cette époque, mais n'est pas international car la concurrence est rude avec Georges Carnus ou Marcel Aubour. Il remplace ce dernier à Rennes, en 1972, après un passage à Ajaccio, avant de finir sa carrière professionnelle à Valenciennes.

JEAN LUC SASSUS
Né le 4 octobre 1962 à Tarbes, décédé le 22 mai 2015
Poste : latéral droit
Parcours
joueur : Toulouse FC 1979-1986), Cannes (1986-1992), Paris SG (1992-1994), Lyon (1994-1996), St Etienne (1997)
Bilan
368 matchs de Ligue1
8 matchs de coupe des coupes
16 matchs de coupe de l'UEFA
International français (1 sélection)
Palmarès
Champion de France 1994, champion D2 (1982), vainqueur coupe de France (1993)
Jean-Luc Sassus fut formé au TAC et, très vite intégra les équipes de jeunes où sa progression spectaculaire impressionna ses dirigeants et lui fit gravir rapidement les échelons. Elève au sein de la section sports-études au lycée polyvalent du Mirail à Toulouse sous la houlette de Gérard Rabier en 1977-1978. Puis, il mène de pair avec sa carrière professionnelle des études supérieures (Maths Sup puis Maths Spé avant d'intégrer une école d'ingénieur en chimie, toujours à Toulouse).
Formé au Toulouse AC au poste d'attaquant, il rejoint le TFC en 1979 jusqu'en 1986. Champion de France de D2 en 1982 et connaît des sélections en équipe nationale de jeunes. En 1982, il est également désigné meilleur joueur de la Coupe du monde universitaire qui se déroule au Mexique. Il signe son premier contrat de footballeur professionnel en 1984, puis obtient son diplôme d'ingénieur chimiste en 1985.
Étant ingénieur, il débute une thèse. Mais un contrat lui est proposé par l'AS Cannes en 1986. Il choisit d'interrompre ses études et de devenir un footballeur cannois.
Jean-Luc Sassus reste à Cannes jusqu'en 1992, année où il rejoint le Paris Saint-Germain, club avec lequel il obtient un titre de champion de France de première division et remporte la coupe de France. Il reçoit une cape en équipe de France, le 14 octobre 1992 lors d'un match face à l'Autriche. Il a la réputation d'être l'un des joueurs les plus rapides du championnat de France (moins de 11 secondes au 100 m).
Le 20 décembre 1996, Pascal Olmeta agressa Sassus dans le tunnel des vestiaires du stade de Gerland après le match de championnat OL-Nantes (0-1). Le défenseur avait eu le nez fracturé et un traumatisme crânien. Olmeta avait été ensuite licencié de l'OL. En 1997, il se réconcilieront publiquement.
Après sa carrière de footballeur, il devient agent de joueurs. Il intervient via la société « Cœur de foot » auprès des scolaires afin de promouvoir la culture footballistique dans les banlieues. Très populaire en Bretagne, le joueur compte un fan-club très actif dans la ville de Plestin-les-Grèves, dans les Côtes-d'Armor.
Il pratiquait aussi l'athlétisme et participait aux interclubs où on l'a vu remporter le concours régional de lancer de poids. Il est impliqué dans l'association « Un Casque, un Ballon et du Cœur » qui aide les enfants orphelins des sapeurs-pompiers décédés en intervention.
Il meurt le 22 mai 2015 d’une crise cardiaque à l'âge de 52 ans. Le lendemain de son décès, une minute de silence par le Paris Saint-Germain et une minute d'applaudissement par l'AS Saint-Étienne sont observées lors de la dernière journée de championnat. L'UNFP lui rend hommage en présentant « ses sincères condoléances à la famille ». Jean-Michel Moutier, directeur sportif dans les années 90, explique à son propos : « C'était un bon mec. Le partenaire idéal, sans problème, facile à gérer ».
Né le 4 octobre 1962 à Tarbes, décédé le 22 mai 2015
Poste : latéral droit
Parcours
joueur : Toulouse FC 1979-1986), Cannes (1986-1992), Paris SG (1992-1994), Lyon (1994-1996), St Etienne (1997)
Bilan
368 matchs de Ligue1
8 matchs de coupe des coupes
16 matchs de coupe de l'UEFA
International français (1 sélection)
Palmarès
Champion de France 1994, champion D2 (1982), vainqueur coupe de France (1993)
Jean-Luc Sassus fut formé au TAC et, très vite intégra les équipes de jeunes où sa progression spectaculaire impressionna ses dirigeants et lui fit gravir rapidement les échelons. Elève au sein de la section sports-études au lycée polyvalent du Mirail à Toulouse sous la houlette de Gérard Rabier en 1977-1978. Puis, il mène de pair avec sa carrière professionnelle des études supérieures (Maths Sup puis Maths Spé avant d'intégrer une école d'ingénieur en chimie, toujours à Toulouse).
Formé au Toulouse AC au poste d'attaquant, il rejoint le TFC en 1979 jusqu'en 1986. Champion de France de D2 en 1982 et connaît des sélections en équipe nationale de jeunes. En 1982, il est également désigné meilleur joueur de la Coupe du monde universitaire qui se déroule au Mexique. Il signe son premier contrat de footballeur professionnel en 1984, puis obtient son diplôme d'ingénieur chimiste en 1985.
Étant ingénieur, il débute une thèse. Mais un contrat lui est proposé par l'AS Cannes en 1986. Il choisit d'interrompre ses études et de devenir un footballeur cannois.
Jean-Luc Sassus reste à Cannes jusqu'en 1992, année où il rejoint le Paris Saint-Germain, club avec lequel il obtient un titre de champion de France de première division et remporte la coupe de France. Il reçoit une cape en équipe de France, le 14 octobre 1992 lors d'un match face à l'Autriche. Il a la réputation d'être l'un des joueurs les plus rapides du championnat de France (moins de 11 secondes au 100 m).
Le 20 décembre 1996, Pascal Olmeta agressa Sassus dans le tunnel des vestiaires du stade de Gerland après le match de championnat OL-Nantes (0-1). Le défenseur avait eu le nez fracturé et un traumatisme crânien. Olmeta avait été ensuite licencié de l'OL. En 1997, il se réconcilieront publiquement.
Après sa carrière de footballeur, il devient agent de joueurs. Il intervient via la société « Cœur de foot » auprès des scolaires afin de promouvoir la culture footballistique dans les banlieues. Très populaire en Bretagne, le joueur compte un fan-club très actif dans la ville de Plestin-les-Grèves, dans les Côtes-d'Armor.
Il pratiquait aussi l'athlétisme et participait aux interclubs où on l'a vu remporter le concours régional de lancer de poids. Il est impliqué dans l'association « Un Casque, un Ballon et du Cœur » qui aide les enfants orphelins des sapeurs-pompiers décédés en intervention.
Il meurt le 22 mai 2015 d’une crise cardiaque à l'âge de 52 ans. Le lendemain de son décès, une minute de silence par le Paris Saint-Germain et une minute d'applaudissement par l'AS Saint-Étienne sont observées lors de la dernière journée de championnat. L'UNFP lui rend hommage en présentant « ses sincères condoléances à la famille ». Jean-Michel Moutier, directeur sportif dans les années 90, explique à son propos : « C'était un bon mec. Le partenaire idéal, sans problème, facile à gérer ».

XAVIER BECAS
Né le 31 mai 1979 à Tarbes
Poste : attaquant
Parcours
Joueur : Tarbes, Pau (juillet 98 - juin 2000), Sedan (juillet 2000 - juin 2001), Ajaccio (juillet 2001 - janvier 2003), Metz (janvier 2003 - juin 2003), Gueugnon (janvier 2004 - juin 2004), Pau (juillet 2004 - juin 2005), Ajaccio (juillet 2005 - juin 2006), Istres (septembre 2006 - juin 2007), Tarbes (juillet 2007 - janvier 2009), Pau (février 2009 - juin 2013), Elan Pyrénéen (octobre 2013-juin 2015), Aureilhan (depuis juillet 2015)
Bilan
25 matchs de Ligue1
Un exemple pour la nouvelle génération tant il semblait difficile de percer lorsqu'on était footballeur des Hautes-Pyrénées. Passé par le Stado puis Pau, c'est à Sedan qu'il est recruté à l'été 2000. Les dirigeants sont séduits par ses qualités explosives. Il découvre alors la Ligue 1. En manque de temps de jeu, il est prêté à Ajaccio où ses qualités explosent en Ligue 2 et partipent activement à la remontée en Ligue 1. Il enchaîne par 19 matchs au plus haut niveau avant de cumuler les clubs (Metz, Istres, Gueugnon,...). Il rate sa chance lors d'un essai aux Emirats. Il revient à Tarbes puis Pau avant de faire les beaux jours des clubs du département comme l'ELPY et Aureilhan.
Né le 31 mai 1979 à Tarbes
Poste : attaquant
Parcours
Joueur : Tarbes, Pau (juillet 98 - juin 2000), Sedan (juillet 2000 - juin 2001), Ajaccio (juillet 2001 - janvier 2003), Metz (janvier 2003 - juin 2003), Gueugnon (janvier 2004 - juin 2004), Pau (juillet 2004 - juin 2005), Ajaccio (juillet 2005 - juin 2006), Istres (septembre 2006 - juin 2007), Tarbes (juillet 2007 - janvier 2009), Pau (février 2009 - juin 2013), Elan Pyrénéen (octobre 2013-juin 2015), Aureilhan (depuis juillet 2015)
Bilan
25 matchs de Ligue1
Un exemple pour la nouvelle génération tant il semblait difficile de percer lorsqu'on était footballeur des Hautes-Pyrénées. Passé par le Stado puis Pau, c'est à Sedan qu'il est recruté à l'été 2000. Les dirigeants sont séduits par ses qualités explosives. Il découvre alors la Ligue 1. En manque de temps de jeu, il est prêté à Ajaccio où ses qualités explosent en Ligue 2 et partipent activement à la remontée en Ligue 1. Il enchaîne par 19 matchs au plus haut niveau avant de cumuler les clubs (Metz, Istres, Gueugnon,...). Il rate sa chance lors d'un essai aux Emirats. Il revient à Tarbes puis Pau avant de faire les beaux jours des clubs du département comme l'ELPY et Aureilhan.

WILLIAM AYACHE
Né le 10 janvier 1961 à Alger
Poste : latéral droit
Parcours
Joueur : Nantes (1979-1986), Paris SG (1986-87), Marseille (1987-88), Nantes (1988-89), Bordeaux (1989), Montpellier (1990), Nice (1990-1991), Marseille (1991), Nîmes (1992), Cannes (1992-1995)
Entraîneur : AS Cannes (1995)
Bilan
347 matchs
5 matchs de Ligue des Champions
6 matchs de coupe des coupes
12 matchs de coupe de l'UEFA
International français (20 sélections)
Palmarés
Vainqueur des JO (1984), champion de France (1980, 1983), vainqueur de la coupe de France (1990)
Premier match en Ligue 1 : Lens - Nantes : 1-3 (03/08/1979)
Si William Ayache est né à Alger, c'est bien à Tarbes qu'il a effectué ses premiers pas de footballeur au Stado. Il dispute son premier match en D1 en 1979 avec le FC Nantes et connaît la consécration, au point de connaître sa première sélection avec l'équipe de France A le 5 octobre 1983, pour la rencontre France-Espagne (1-1).
Lors des JO de Los Angeles en 1984 il est sacré champion Olympique avec l'Équipe de France, ce qui lui permet de s'imposer dans le groupe de l'Équipe de France A et logiquement, il est sélectionné pour la coupe du monde 1986. Après la Coupe du monde, il quitte Nantes pour rejoindre le PSG, champion en titre. Il n'y reste qu'une saison pour rejoindre l'Olympique de Marseille, mais ne parvenant pas à avoir un temps de jeu conséquent, il revient à Nantes pour la saison 1988-1989. Une bonne saison qui lui permet de signer chez les Girondins de Bordeaux, mais n'y dispute qu'un seul match, subissant l'éclosion de Bixente Lizarazu. Il signe au Montpellier HSC et remporte la Coupe de France. La saison suivante, il connaît une saison blanche, d'abord avec l'OGC Nice, puis en jouant avec la réserve de l'Olympique de Marseille.
En 1991, il signe au Nîmes Olympique en compagnie de deux autres anciens marseillais et joueurs de l'équipe de France: Philippe Vercruysse et Éric Cantona. William Ayache ne reste qu'un an dans le club gardois puis signe en Division 2 à l'AS Cannes, fraichement relégué. Il restera au club jusqu'à la fin de sa carrière, au terme de la saison 95-96.
Sa carrière de joueur achevée, il entame une carrière d'entraîneur en rentrant dans le staff de Luis Fernandez à l'Athletic Bilbao.
Il est par la suite consultant pour la chaîne Canal+ puis pour beIN Sports.
Né le 10 janvier 1961 à Alger
Poste : latéral droit
Parcours
Joueur : Nantes (1979-1986), Paris SG (1986-87), Marseille (1987-88), Nantes (1988-89), Bordeaux (1989), Montpellier (1990), Nice (1990-1991), Marseille (1991), Nîmes (1992), Cannes (1992-1995)
Entraîneur : AS Cannes (1995)
Bilan
347 matchs
5 matchs de Ligue des Champions
6 matchs de coupe des coupes
12 matchs de coupe de l'UEFA
International français (20 sélections)
Palmarés
Vainqueur des JO (1984), champion de France (1980, 1983), vainqueur de la coupe de France (1990)
Premier match en Ligue 1 : Lens - Nantes : 1-3 (03/08/1979)
Si William Ayache est né à Alger, c'est bien à Tarbes qu'il a effectué ses premiers pas de footballeur au Stado. Il dispute son premier match en D1 en 1979 avec le FC Nantes et connaît la consécration, au point de connaître sa première sélection avec l'équipe de France A le 5 octobre 1983, pour la rencontre France-Espagne (1-1).
Lors des JO de Los Angeles en 1984 il est sacré champion Olympique avec l'Équipe de France, ce qui lui permet de s'imposer dans le groupe de l'Équipe de France A et logiquement, il est sélectionné pour la coupe du monde 1986. Après la Coupe du monde, il quitte Nantes pour rejoindre le PSG, champion en titre. Il n'y reste qu'une saison pour rejoindre l'Olympique de Marseille, mais ne parvenant pas à avoir un temps de jeu conséquent, il revient à Nantes pour la saison 1988-1989. Une bonne saison qui lui permet de signer chez les Girondins de Bordeaux, mais n'y dispute qu'un seul match, subissant l'éclosion de Bixente Lizarazu. Il signe au Montpellier HSC et remporte la Coupe de France. La saison suivante, il connaît une saison blanche, d'abord avec l'OGC Nice, puis en jouant avec la réserve de l'Olympique de Marseille.
En 1991, il signe au Nîmes Olympique en compagnie de deux autres anciens marseillais et joueurs de l'équipe de France: Philippe Vercruysse et Éric Cantona. William Ayache ne reste qu'un an dans le club gardois puis signe en Division 2 à l'AS Cannes, fraichement relégué. Il restera au club jusqu'à la fin de sa carrière, au terme de la saison 95-96.
Sa carrière de joueur achevée, il entame une carrière d'entraîneur en rentrant dans le staff de Luis Fernandez à l'Athletic Bilbao.
Il est par la suite consultant pour la chaîne Canal+ puis pour beIN Sports.

SEBASTIEN SALLES-LAMONGE
Né le 28 janvier 1996 à Tarbes
1m70, 69kg
Poste : meneur de jeu
International : U18 (France)
Parcours
joueur : Séméac (2003-2007), Tarbes PF (2007-2011), Stade Rennais (depuis juillet 2011)
Après avoir connu la joie d'intégrer l'équipe professionnelle du Stade Rennais en coupe de France, Sébastien Salles Lamonge a réalisé son rêve de gosse en étant titulaire pour ses débuts en L1, vendredi soir face au SCO d'Angers et cela devant les caméras de BeIn Sports. Pour le jeune Tarbais, c'est un premier pas vers la consécration. Etre dans le onze de départ en lieu et place d'une icône du football comme Yohann Gourcuff, témoigne de la confiance de son coach, Rolland Courbis, qui fonde de grands espoirs en lui. Sorti à la mi-temps pour être remplacé par Yoann Gourcuff, Sébastien a fait une première période propre, sans chercher à briller individuellement pour se mettre au service d'un collectif Rennais quelque peu balbutiant durant ces quarante cinq premières minutes de bonne facture cependant pour notre jeune Tarbais. Le lendemain, le quotidien "L'Equipe" lui a attribué la note de 5 qui correspond à la moyenne. Au niveau stat, il aura joué 46 ballons et effectué 80% de passes réussies.
Du rêve à la réalité...
Passé par Séméac, où il a eu comme premier entraîneur M. Menonni puis Lionel Fourcade, puis Tarbes, l'international U18 avait déjà connu ses premières minutes dans le monde professionnel lors d'un tour de coupe de France face à Bourg en Bresse où les Rennais furent éliminés, ce qui coûta son poste d'entraîneur à Philippe Montanier. Sébastien était entré en jeu en fin de match pour essayer de faire basculer le destin de cette rencontre. Il avait ensuite été convoqué dans le groupe pro pour les rencontres face à Lorient et Lille.
Un exemple, un modèle à suivre pour les jeunes footballeurs Bigourdans qui caressent eux aussi l'espoir d'évoluer un jour au plus haut niveau. Mais, du rêve à la réalité il faut savoir que tout cela n'est pas tombé du ciel, mais bien, qu'il touche là, la récompense d'un travail acharné et d'une assiduité sans pareille, tant sur le terrain que durant sa scolarité.
Une première qui en appellera d'autres c'est tout le mal que nous souhaitons à Sébastien Salles Lamonge, qui est rentré dans la légende des Haut-Pyrénéens ayant évolué en L1.
Né le 28 janvier 1996 à Tarbes
1m70, 69kg
Poste : meneur de jeu
International : U18 (France)
Parcours
joueur : Séméac (2003-2007), Tarbes PF (2007-2011), Stade Rennais (depuis juillet 2011)
Après avoir connu la joie d'intégrer l'équipe professionnelle du Stade Rennais en coupe de France, Sébastien Salles Lamonge a réalisé son rêve de gosse en étant titulaire pour ses débuts en L1, vendredi soir face au SCO d'Angers et cela devant les caméras de BeIn Sports. Pour le jeune Tarbais, c'est un premier pas vers la consécration. Etre dans le onze de départ en lieu et place d'une icône du football comme Yohann Gourcuff, témoigne de la confiance de son coach, Rolland Courbis, qui fonde de grands espoirs en lui. Sorti à la mi-temps pour être remplacé par Yoann Gourcuff, Sébastien a fait une première période propre, sans chercher à briller individuellement pour se mettre au service d'un collectif Rennais quelque peu balbutiant durant ces quarante cinq premières minutes de bonne facture cependant pour notre jeune Tarbais. Le lendemain, le quotidien "L'Equipe" lui a attribué la note de 5 qui correspond à la moyenne. Au niveau stat, il aura joué 46 ballons et effectué 80% de passes réussies.
Du rêve à la réalité...
Passé par Séméac, où il a eu comme premier entraîneur M. Menonni puis Lionel Fourcade, puis Tarbes, l'international U18 avait déjà connu ses premières minutes dans le monde professionnel lors d'un tour de coupe de France face à Bourg en Bresse où les Rennais furent éliminés, ce qui coûta son poste d'entraîneur à Philippe Montanier. Sébastien était entré en jeu en fin de match pour essayer de faire basculer le destin de cette rencontre. Il avait ensuite été convoqué dans le groupe pro pour les rencontres face à Lorient et Lille.
Un exemple, un modèle à suivre pour les jeunes footballeurs Bigourdans qui caressent eux aussi l'espoir d'évoluer un jour au plus haut niveau. Mais, du rêve à la réalité il faut savoir que tout cela n'est pas tombé du ciel, mais bien, qu'il touche là, la récompense d'un travail acharné et d'une assiduité sans pareille, tant sur le terrain que durant sa scolarité.
Une première qui en appellera d'autres c'est tout le mal que nous souhaitons à Sébastien Salles Lamonge, qui est rentré dans la légende des Haut-Pyrénéens ayant évolué en L1.

HERVE GANDOLFI
Né le 20 septembre 1963 à Toulouse
Poste : défenseur/milieu
Parcours :
Joueur : Soues, Tarbes, Girondins de Bordeaux (1980-84), CO du Puy (1984-87), Périgueux (1987-1988), Villenave d'Ornon (1989-1995)
Bilan
7 matchs de Ligue 1
Hervé Gandolfi a découvert le haut niveau aux Girondins de Bordeaux, sans parvenir à se faire une place au soleil. Il y disputa néanmoins 7 matchs de L1. Passé par Soues puis Tarbes en junior, il poursuivit sa carrière en D2, au Puy, avant de fréquenter les terrains du football amateur du côté de Périgueux ou de Villenave d'Ornon, clubs de la défunte D3. Hervé Gandolfi continua d'œuvrer pour le football amateur, notamment comme éducateur au sein du FC Libourne-Saint-Seurin. Aujourd'hui, il occupe le poste de responsable du service des sports à la mairie de Villenave d'Ornon.
Né le 20 septembre 1963 à Toulouse
Poste : défenseur/milieu
Parcours :
Joueur : Soues, Tarbes, Girondins de Bordeaux (1980-84), CO du Puy (1984-87), Périgueux (1987-1988), Villenave d'Ornon (1989-1995)
Bilan
7 matchs de Ligue 1
Hervé Gandolfi a découvert le haut niveau aux Girondins de Bordeaux, sans parvenir à se faire une place au soleil. Il y disputa néanmoins 7 matchs de L1. Passé par Soues puis Tarbes en junior, il poursuivit sa carrière en D2, au Puy, avant de fréquenter les terrains du football amateur du côté de Périgueux ou de Villenave d'Ornon, clubs de la défunte D3. Hervé Gandolfi continua d'œuvrer pour le football amateur, notamment comme éducateur au sein du FC Libourne-Saint-Seurin. Aujourd'hui, il occupe le poste de responsable du service des sports à la mairie de Villenave d'Ornon.

CHRISTOPHE MEDAILLON
Né le 11 janvier 1973 à Tarbes
Poste : défenseur
Parcours
Joueur : La Gespe, Girondins de Bordeaux (1986-89), INF Vichy (1989-92), AS St Etienne (93-95), Red Stars 93 (1995-97), FC Pau (1997-98), L'Etrat (1998-2002)
Bilan
6 matchs de Ligue 1
C'est de 1986 à 1989, dans les équipes de jeunes des Girondins de Bordeaux que le jeune Christophe parfait sa pré-formation. En 1989, il intègre l’INF Vichy.
Cette cure au pays de l’eau régénérante, des pastilles et des chemises à carreaux lui réussit puisque dès l’année 1992, il rejoint le centre de formation de l’AS Saint Etienne.
Ses qualités de vitesse et de débordement lui permettent de se faire remarquer comme un arrière latéral gauche assez offensif, même si selon l’expression consacrée, son pied droit ne lui sert qu’à monter dans le bus. Il fera l’essentiel de sa carrière sous le maillot vert en CN2, ancêtre de la CFA. Sous la houlette d’Elie Baup, il évoluera dans l’une des meilleures équipes B qu’ait jamais possédée l’ASSE : Grégory Coupet, Lionel Potillon, Sébastien Perez, Dominique Aulanier ou Titi Camara figurent parmi ses plus célèbres coéquipiers.
Une rencontre dans la superbe ambiance de Bollaert, même après une défaite (3-1), reste également pour lui un souvenir marquant, reflétant ainsi un esprit "foot" des plus sympathiques. Au total, Christophe disputera 5 matches pendant la saison 1993-94 et un seul pendant la saison 1994-1995, ainsi qu'un match de Coupe de France (perdu 2-0) contre Montpellier.
Christophe est alors marqué par le sérieux, mais surtout la richesse humaine de Jacques Santini, avec lequel il reste en contact. Le départ du technicien stéphanois lui laisse un goût amer. Il déplore, du reste, l’image que les médias parisiens donnent de lui. Laurent Blanc, seigneur sur le terrain, mais aussi en dehors avec les jeunes de sa génération, lui laissera également un excellent souvenir.
Par contre, même s’il concède que Lubomir Moravcik était un technicien hors pair, il reconnait que le comportement du Slovaque dans les vestiaires avec ces mêmes jeunes laissait à désirer...t également d’y ajouter Fabrice Manucci, Pierre Bastou, Jérôme Four et Stéphane Santini, devenu l’un de ses meilleurs potes depuis. C’est, du reste, le père de ce dernier, entraîneur de l’équipe 1, qui lui donne sa chance au plus haut niveau. Médaillon sort de la petite case et fait ses premiers pas en D1 le 2 avril 1994 à Saint-Symphorien, à l’occasion d’une victoire 1-0 en terre messine.
Le match suivant reste son meilleur souvenir, puisqu’il coïncide avec la dernière victoire des Verts dans le derby avant bien longtemps: un splendide 3-0 à Geoffroy-Guichard. Christophe entre en cours de match, alors que le score est encore à 0-0 et dans ce qui reste le dernier match de Joseph Antoine Bell sous le maillot vert, l’ASSE l’emporte grâce à Pascal Despeyroux et un doublé de Mendy (Étienne, Étienne, Étienne, tiens le bien !!).
De 1995 à 1997, Christophe Médaillon file chez les autres verts du Red Star. Ces deux saisons en D2 lui permettent de jouer une trentaine de matches, notamment aux côtés de Steve Marlet, Samuel Boutal et autres Ted Kelton Agasson...
Il terminera son parcours à Pau pendant 4 mois, avant de revenir, pour des raisons personnelles, dans la région stéphanoise. Là, il exercera ses talents pendant 4 ans à l’Etrat en DH avant de définitivement tirer sa révérence à seulement 25 ans.
Aujourd’hui, Christophe Médaillon est toujours établi dans le Forez où il exerce la profession d’ambulancier. Il continue à être arrêté par quelques supporters qui reconnaissent en lui l’un des acteurs du dernier derby victorieux.
Du Parisiana aux urgences des hôpitaux, les fêtards de tous horizons et les accidentés au bord de l’apoplexie lui demandent encore de ses nouvelles. Et comme il le dit lui-même: "Mes quelques matches en équipe une ici m’auront apporté plus de popularité que toute une carrière en D2". Christophe a quasiment raccroché les crampons et ne joue guère plus maintenant qu’avec ses collègues de travail.
Sources (Wilkipédia et Poteaux carrés)
Né le 11 janvier 1973 à Tarbes
Poste : défenseur
Parcours
Joueur : La Gespe, Girondins de Bordeaux (1986-89), INF Vichy (1989-92), AS St Etienne (93-95), Red Stars 93 (1995-97), FC Pau (1997-98), L'Etrat (1998-2002)
Bilan
6 matchs de Ligue 1
C'est de 1986 à 1989, dans les équipes de jeunes des Girondins de Bordeaux que le jeune Christophe parfait sa pré-formation. En 1989, il intègre l’INF Vichy.
Cette cure au pays de l’eau régénérante, des pastilles et des chemises à carreaux lui réussit puisque dès l’année 1992, il rejoint le centre de formation de l’AS Saint Etienne.
Ses qualités de vitesse et de débordement lui permettent de se faire remarquer comme un arrière latéral gauche assez offensif, même si selon l’expression consacrée, son pied droit ne lui sert qu’à monter dans le bus. Il fera l’essentiel de sa carrière sous le maillot vert en CN2, ancêtre de la CFA. Sous la houlette d’Elie Baup, il évoluera dans l’une des meilleures équipes B qu’ait jamais possédée l’ASSE : Grégory Coupet, Lionel Potillon, Sébastien Perez, Dominique Aulanier ou Titi Camara figurent parmi ses plus célèbres coéquipiers.
Une rencontre dans la superbe ambiance de Bollaert, même après une défaite (3-1), reste également pour lui un souvenir marquant, reflétant ainsi un esprit "foot" des plus sympathiques. Au total, Christophe disputera 5 matches pendant la saison 1993-94 et un seul pendant la saison 1994-1995, ainsi qu'un match de Coupe de France (perdu 2-0) contre Montpellier.
Christophe est alors marqué par le sérieux, mais surtout la richesse humaine de Jacques Santini, avec lequel il reste en contact. Le départ du technicien stéphanois lui laisse un goût amer. Il déplore, du reste, l’image que les médias parisiens donnent de lui. Laurent Blanc, seigneur sur le terrain, mais aussi en dehors avec les jeunes de sa génération, lui laissera également un excellent souvenir.
Par contre, même s’il concède que Lubomir Moravcik était un technicien hors pair, il reconnait que le comportement du Slovaque dans les vestiaires avec ces mêmes jeunes laissait à désirer...t également d’y ajouter Fabrice Manucci, Pierre Bastou, Jérôme Four et Stéphane Santini, devenu l’un de ses meilleurs potes depuis. C’est, du reste, le père de ce dernier, entraîneur de l’équipe 1, qui lui donne sa chance au plus haut niveau. Médaillon sort de la petite case et fait ses premiers pas en D1 le 2 avril 1994 à Saint-Symphorien, à l’occasion d’une victoire 1-0 en terre messine.
Le match suivant reste son meilleur souvenir, puisqu’il coïncide avec la dernière victoire des Verts dans le derby avant bien longtemps: un splendide 3-0 à Geoffroy-Guichard. Christophe entre en cours de match, alors que le score est encore à 0-0 et dans ce qui reste le dernier match de Joseph Antoine Bell sous le maillot vert, l’ASSE l’emporte grâce à Pascal Despeyroux et un doublé de Mendy (Étienne, Étienne, Étienne, tiens le bien !!).
De 1995 à 1997, Christophe Médaillon file chez les autres verts du Red Star. Ces deux saisons en D2 lui permettent de jouer une trentaine de matches, notamment aux côtés de Steve Marlet, Samuel Boutal et autres Ted Kelton Agasson...
Il terminera son parcours à Pau pendant 4 mois, avant de revenir, pour des raisons personnelles, dans la région stéphanoise. Là, il exercera ses talents pendant 4 ans à l’Etrat en DH avant de définitivement tirer sa révérence à seulement 25 ans.
Aujourd’hui, Christophe Médaillon est toujours établi dans le Forez où il exerce la profession d’ambulancier. Il continue à être arrêté par quelques supporters qui reconnaissent en lui l’un des acteurs du dernier derby victorieux.
Du Parisiana aux urgences des hôpitaux, les fêtards de tous horizons et les accidentés au bord de l’apoplexie lui demandent encore de ses nouvelles. Et comme il le dit lui-même: "Mes quelques matches en équipe une ici m’auront apporté plus de popularité que toute une carrière en D2". Christophe a quasiment raccroché les crampons et ne joue guère plus maintenant qu’avec ses collègues de travail.
Sources (Wilkipédia et Poteaux carrés)
Pro, ils n'ont jamais connu la Ligue1
- Mohamed Ali Gharzoul
- Marc Fachan
- Salahedinne Sbaï
- Florian Aigouy
- Alexandre Coulot
- Gilles Llort
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